Quand on parle d’avenir, de futur, beaucoup pensent au destin à la destinée et donc à la possibilité que nos vies soient déjà tracées. Ainsi, certains partent du principe que l’idée même de choix nous est dictée, que le libre arbitre n’est qu’une illusion que l’homme a créée pour mieux vivre sa condition d’être humain.
De ce fait, certains professionnels que nous avons notre entrée et notre sortie dans cette vie terrestre. Entre ces deux points, il y a ce que bon nombre de praticiens nomment les grandes lignes comme les carrefours, les grandes « destinations », les grands points. Pour eux, cela suffit à expliquer la faculté de voyance qui veut que l’on puisse capter les grandes influences de la vie d’une personne.
Quoi qu’il en soit le destin ne s’inscrit jamais dans une forme d’individualité, on pourrait même dire que le destin d’une personne ou d’un individu est essentiellement lié aux autres. En résumé, notre environnement premier (famille, amis, relations professionnelles…) mais aussi la société (notre pays, le monde…) ainsi que notre caractère, notre personnalité contribuent à la mise en route de notre destin et donc aux développements de certaines de nos facultés. Même si cela est tiré par les cheveux, on pourrait donc dire que le destin serait plus ou moins notre réalisation en tant qu’être sur cette terre et ce quel que soit le chemin, les épreuves, les joies, les réussites ou les satisfactions qui font de toute façon partie intégrante de la vie de chacun d’entre nous.
A lire :
-Le Destin de l’âme | Carmen Grenier | Eds : Montague eds
-Destins croisés | Paul Young | Eds : La Maisnie-Tredaniel
Elle se rapporte à tous les arts divinatoires. Elle a longtemps été employée pour désigner la voyance puis ce terme est tombé en désuétude. Quoi qu’il en soit, la divination est un bel et bien un art qui procède du divin mais qui est aussi l’action de deviner.
Bien souvent, il est dit qu’il faut être initié pour pratiquer la divination. Cependant, il est clair que ces pratiques, que l’apprentissage de ce domaine n’est plus vraiment d’actualité.
À lire :
-Histoire de la divination Oracles, Prophéties, voyance d’Yvonne de Sike aux Editions Larousse
Beaucoup de personnes pensent qu’une faculté de voyance ou de ‘guérisseur’ est étroitement liée à notre Dieu (et celui-ci quel qu’il soit). Personnellement, je crois que nous ne sommes pas obligés d’être croyants pour pratiquer le métier de voyant, d’astrologue ou de magnétiseur. Si certains, n’hésitent pas à utiliser les principes religieux pour justifier tel ou tel acte, j’avoue être beaucoup plus réservé et sceptique. Au bout de plusieurs années d’études, je me suis vite rendu compte que la croyance (et cela quelle qu’elle soit) bloquait l’intuition car celle-ci avait tendance à nous enfermer dans des schémas, des jugements. Ainsi pour bien pratiquer, il faut être libéré de toutes contraintes.
En revanche, l’emprunte mythologique dans la symbolique, dans l’interprétation peut jouer un rôle important. C’est notamment le cas en astrologie.
À lire : Dictionnaire des Mythologies 1&2 d’Yves Bonnefoy aux Editions Flammarion